[BLA BLA #2] Flow, le magazine qui vous veut du bien !
Aujourd'hui, je souhaite vous écrire un billet tout particulier, mon tout premier qui n'est pas un DIY.
Deux cadeaux dans chaque numéro, et pas n'importe quoi !
Dans le premier numéro, une jolie guirlande de fanions vous est offerte
Ainsi qu'un carnet de notes vintage, j'a-dore !
L'article qui m'a bouleversé
Le weekend où je vais rendre visite à mon père hospitalisé, je tombe sur l'article Le premier jour du reste de ma vie. Dans la vie, il y a des coïncidences assez folles, celle-ci en fait partie.
Dès les premières lignes, j'ai été secouée par le témoignage de Bronnie Ware, infirmière australienne, qui, en s'occupant de patients en fin de vie, se rend compte qu'ils ont tous les mêmes regrets. Elle ne retient que les 5 plus fréquents et ils ne sont finalement pas si surprenants.
"J'aurais aimé vivre ma vie à ma guise, sans me conformer à ce que l'on attendait de moi", c'est de loin celle qui me parle le plus, et je suis sûre qu'elle vous parle aussi. Toutes les fois où je fais quelque chose de peur du jugement des autres alors que je n'en avais absolument pas envie. Ou au contraire toutes les fois où je n'ose pas faire quelque chose à cause du regard malveillant des gens. Mais non ! Pourquoi je fais ça ? Pourquoi sommes-nous toujours obligés de faire ce que la société attend de nous ? Pourquoi certaines personnes ont-elles peur d'avouer leur orientation sexuelle ? Pourquoi devons-nous suivre les diktats ? Pourquoi devrions-nous travailler si nous pouvons et préférons nous arrêter quelques temps pour élever nos enfants ? Pourquoi exercerions-nous un métier respecté et estimé plutôt que notre passion même précaire ? Il y a tant de choses que l'on s'inflige de peur d'être jugé puis que nous regrettons une fois qu'il est trop tard. Nous perdons un temps infini à ruminer, à se demander : "mais qu'est-ce que les gens vont penser de moi ?". Et flûte !!
La vie est bien trop courte pour la passer à ressasser ce qu'on aurait dû faire ou ne pas faire. Posons-nous, un peu, prenons du recul sur la vie, et réfléchissons à ce que nous avons peur de regretter dans quelques années sur notre lit de mort. Allons à l'essentiel, concentrons-nous sur notre bonheur et celui de notre famille.
Roos Ouwehand, auteur de ce billet, vous présente et analyse d'autres regrets à travers le témoignage de Bronnie Ware. Je vous invite à le lire pour essayer de ne plus jamais rien regretter, à vivre sans se poser toutes ces questions, à profiter de moments de partage, et enfin à célébrer cette vie qui en vaut tellement la peine...
Il ne reste plus qu'à vous procurer ce numéro 1 de Flow.
Il promet tellement d'autres belles choses et contribuera à l'approche d'une vie beaucoup plus positive et apaisée.
Soyons Flowish !
Ce petit aparté, je vous l'avoue, car j'ai été séduite par Flow, ce magazine féminin qui égaie mes journées. C'est la première fois que je lis chaque page d'un magazine, que chaque sujet retient mon attention. C'est un véritable coup de cœur qui me pousse à partager avec vous cette découverte.
Flow, un bimestriel positif venu tout droit d'Hollande
Flow Magazine est une revue féminine publiée tous les deux mois et bienveillant. En effet, il question de "psychologie positive, de créativité, de pleine conscience et de la beauté des choses imparfaites" à travers leur amour pour le papier.
Le premier magazine version hollandaise a vu le jour en 2009. Ensuite, il est publié en Allemagne à partir de 2013. Il est aussi édité en anglais pour la version internationale.
Aujourd'hui, le voilà enfin en France. Le premier numéro est sorti le 12 février 2015. Et c'est déjà un carton. Pour ce premier numéro, Flow a choisi d'aborder le thème : Donner et recevoir.
Ce que j'ai aimé
Le soucis du détail
Avant de se plonger dans la lecture, on se surprend à le toucher, le caresser, à tourner les pages sans même les lire car on y découvre différents papiers : Flow ont mis un point d'honneur à célébrer le papier en utilisant 4 papiers différents.
Cela fait de Flow un cocon qu'on veut soigner, bichonner, et surtout garder. Elles ont tout prévu avec la possibilité de le personnaliser. Qu'est qu'on est fière de mettre son nom !
Les intercalaires qui servent de séparation entre chaque thème sont de jolis posters détachables servant de décoration murale.
Il y a même un marque-page qui vous évite de corner le magazine et croyez-moi, celui-ci vous tenez à ne pas le corner.
Un contenu de qualité
140 belles pages, seulement huit sont publicitaires. Cela fait du bien de lire un magazine qui n'est pas inondé de réclames.
C'est un magazine très coloré et ça nous fait du bien !
On y découvre de belles rencontres,
Le soucis du détail
Avant de se plonger dans la lecture, on se surprend à le toucher, le caresser, à tourner les pages sans même les lire car on y découvre différents papiers : Flow ont mis un point d'honneur à célébrer le papier en utilisant 4 papiers différents.
Cela fait de Flow un cocon qu'on veut soigner, bichonner, et surtout garder. Elles ont tout prévu avec la possibilité de le personnaliser. Qu'est qu'on est fière de mettre son nom !
Les intercalaires qui servent de séparation entre chaque thème sont de jolis posters détachables servant de décoration murale.
Il y a même un marque-page qui vous évite de corner le magazine et croyez-moi, celui-ci vous tenez à ne pas le corner.
Un contenu de qualité
140 belles pages, seulement huit sont publicitaires. Cela fait du bien de lire un magazine qui n'est pas inondé de réclames.
C'est un magazine très coloré et ça nous fait du bien !
On y découvre de belles rencontres,
Deux cadeaux dans chaque numéro, et pas n'importe quoi !
Dans le premier numéro, une jolie guirlande de fanions vous est offerte
Ainsi qu'un carnet de notes vintage, j'a-dore !
Ce que j'ai moins aimé
- UN tous les deux mois, c'est tout ?
J'ai dévoré le premier numéro en quelques heures. Mais comment vais-je faire pour patienter jusqu'à la parution du numéro 2 prévue le 9 avril ? Pour les prochains numéros, il faut que je trouve une stratégie pour faire traîner la lecture 2 mois ;)
J'ai dévoré le premier numéro en quelques heures. Mais comment vais-je faire pour patienter jusqu'à la parution du numéro 2 prévue le 9 avril ? Pour les prochains numéros, il faut que je trouve une stratégie pour faire traîner la lecture 2 mois ;)
- 6.95€, le prix est assez élevé pour un magazine, il faut l'avouer.
Mais finalement, quand on y pense vraiment, il est quand même bien fourni. Et puis c'est 6.95€ tous les deux mois : c'est comme ci vous achetiez un mensuel 3.50€ ou un hebdomadaire même pas 1€, non ? C'est cool ca ! Quand il s'agit de minimiser mes dépenses, Jules me dit toujours que je suis convaincante☺J'espère vous avoir convaincu.
Mais finalement, quand on y pense vraiment, il est quand même bien fourni. Et puis c'est 6.95€ tous les deux mois : c'est comme ci vous achetiez un mensuel 3.50€ ou un hebdomadaire même pas 1€, non ? C'est cool ca ! Quand il s'agit de minimiser mes dépenses, Jules me dit toujours que je suis convaincante☺J'espère vous avoir convaincu.
L'article qui m'a bouleversé
Le weekend où je vais rendre visite à mon père hospitalisé, je tombe sur l'article Le premier jour du reste de ma vie. Dans la vie, il y a des coïncidences assez folles, celle-ci en fait partie.
Dès les premières lignes, j'ai été secouée par le témoignage de Bronnie Ware, infirmière australienne, qui, en s'occupant de patients en fin de vie, se rend compte qu'ils ont tous les mêmes regrets. Elle ne retient que les 5 plus fréquents et ils ne sont finalement pas si surprenants.
"J'aurais aimé vivre ma vie à ma guise, sans me conformer à ce que l'on attendait de moi", c'est de loin celle qui me parle le plus, et je suis sûre qu'elle vous parle aussi. Toutes les fois où je fais quelque chose de peur du jugement des autres alors que je n'en avais absolument pas envie. Ou au contraire toutes les fois où je n'ose pas faire quelque chose à cause du regard malveillant des gens. Mais non ! Pourquoi je fais ça ? Pourquoi sommes-nous toujours obligés de faire ce que la société attend de nous ? Pourquoi certaines personnes ont-elles peur d'avouer leur orientation sexuelle ? Pourquoi devons-nous suivre les diktats ? Pourquoi devrions-nous travailler si nous pouvons et préférons nous arrêter quelques temps pour élever nos enfants ? Pourquoi exercerions-nous un métier respecté et estimé plutôt que notre passion même précaire ? Il y a tant de choses que l'on s'inflige de peur d'être jugé puis que nous regrettons une fois qu'il est trop tard. Nous perdons un temps infini à ruminer, à se demander : "mais qu'est-ce que les gens vont penser de moi ?". Et flûte !!
La vie est bien trop courte pour la passer à ressasser ce qu'on aurait dû faire ou ne pas faire. Posons-nous, un peu, prenons du recul sur la vie, et réfléchissons à ce que nous avons peur de regretter dans quelques années sur notre lit de mort. Allons à l'essentiel, concentrons-nous sur notre bonheur et celui de notre famille.
Roos Ouwehand, auteur de ce billet, vous présente et analyse d'autres regrets à travers le témoignage de Bronnie Ware. Je vous invite à le lire pour essayer de ne plus jamais rien regretter, à vivre sans se poser toutes ces questions, à profiter de moments de partage, et enfin à célébrer cette vie qui en vaut tellement la peine...
Il ne reste plus qu'à vous procurer ce numéro 1 de Flow.
Il promet tellement d'autres belles choses et contribuera à l'approche d'une vie beaucoup plus positive et apaisée.
Soyons Flowish !
Flow Magazine, 6,95€
J'adoooooore !!!!!
RépondreSupprimerMerci pour cette découverte !!!!!
C'est un plaisir !!
RépondreSupprimerProfites-en pour faire lire l'article sur le crochet à Mich !